Hortus sanitatis : Livre IV, Les Poissons, , , , Presses universitaires de Caen, Caen, 2013.consultable en ligne
Abydes (Épernay, BM, Inc. 3017)
1. [α] AM DA, 24, 16 (11)
Albertus in libro ut supra. [α] Abydes2philologieLa tradition manuscrite d’Aristote (Arist. HA 487 b 3-6 MS) est ici corrompue et donne, là où on doit conjecturer le génitif pluriel ἀσκαρίδων, différentes formes aberrantes, ἀσπίδων, ἐμπίδων, difficiles à rapprocher du nom grec du vers, l’ἀσκαρίς. Le terme abydes, via un intermédiaire arabe, pourrait remonter à l’une de ces formes altérées pourvu que la corruption du texte grec original ait été ancienne. animal3apparatanimal post est hab. AM. est marinum cujus conversatio primum4apparatprimo AM. est in aquis et cibus ; et postea mutatur figura ejus et efficitur terrestre et egreditur de aqua, quaerens victum in terra. Et cum5apparatante cum hab. tunc AM. figura mutatur, mutatur6apparatalt. mutatur non hab. AM. etiam7apparatet AM. nomen ejus et vocatur astoym.
Albertus in libro ut supra. [α] Abydes2philologieLa tradition manuscrite d’Aristote (Arist. HA 487 b 3-6 MS) est ici corrompue et donne, là où on doit conjecturer le génitif pluriel ἀσκαρίδων, différentes formes aberrantes, ἀσπίδων, ἐμπίδων, difficiles à rapprocher du nom grec du vers, l’ἀσκαρίς. Le terme abydes, via un intermédiaire arabe, pourrait remonter à l’une de ces formes altérées pourvu que la corruption du texte grec original ait été ancienne. animal3apparatanimal post est hab. AM. est marinum cujus conversatio primum4apparatprimo AM. est in aquis et cibus ; et postea mutatur figura ejus et efficitur terrestre et egreditur de aqua, quaerens victum in terra. Et cum5apparatante cum hab. tunc AM. figura mutatur, mutatur6apparatalt. mutatur non hab. AM. etiam7apparatet AM. nomen ejus et vocatur astoym.
Notes d’apparat :
3. animal post est hab. AM. |
4. primo AM. |
5. ante cum hab. tunc AM. |
6. alt. mutatur non hab. AM. |
7. et AM.
Notes philologiques :
2. La tradition manuscrite d’Aristote (Arist. HA 487 b 3-6 MS) est ici corrompue et donne, là où on doit conjecturer le génitif pluriel ἀσκαρίδων, différentes formes aberrantes, ἀσπίδων, ἐμπίδων, difficiles à rapprocher du nom grec du vers, l’ἀσκαρίς. Le terme abydes, via un intermédiaire arabe, pourrait remonter à l’une de ces formes altérées pourvu que la corruption du texte grec original ait été ancienne.