CopierCopier dans le presse-papierPour indiquer l’adresse de consultation« Jean de Cuba - Hortus sanitatis, Tractatus de piscibus IV.  », in Bibliothèque Ichtya, état du texte au 09/05/2025. [En ligne : ]
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Hortus sanitatis : Livre IV, Les Poissons, Catherine Jacquemard, Brigitte Gauvin, Marie-Agnès Lucas-Avenel, Presses universitaires de Caen, Caen, 2013.consultable en ligne

Operationes

6. VB SN, 17, 31, 4
[] compil.
[α] TC nat.7, 2, 15-19
A. Ex2apparatex — supra non hab. VB. libro ut supra3apparatex lib. de nat. rer. 1536.. [α] Exanimis4apparatex amnis Prüss1. sola piscium non fluitat, nisi cum aquis putrefacta dissolvitur. Plus alio cibo decoquatur5apparatdecoquitur VB. ; aliter nocivus est cibus ejus. Ad ignem assata plus competit, quia malitia ejus illic evaporatur.
7. VB SN, 17, 31, 4
[β] TC nat.7, 2, 16
B. [β] Pinguedo ejus auribus medetur.
8. VB SN, 17, 31, 1
[γ] TC nat.7, 2, 6-7
C. Item6philologieCette information vient à l’origine d’Isidore de Séville. Thomas de Cantimpré l’a reprise mot pour mot, comme Vincent de Beauvais. Tous deux ont indiqué précisément leur source, Isidorus. L’auteur de l’Hortus sanitatis a recopié Vincent de Beauvais en modifiant l’ordre des citations – le marqueur item chez lui a perdu la signification qu’il avait chez Vincent de Beauvais et renvoie logiquement au Liber de natura rerum. Par un heureux hasard cette attribution n’est pas fausse puisque Thomas de Cantimpré cite ce passage. Isidore de Séville lui-même a sans doute emprunté cette information à Plin. nat. 32, 138 : Mullus in uino necatus uel piscis rubellio uel anguillae II, item uua marina in uino putrefacta ii, qui inde biberint taedium uini adfert.. [γ] Anguillae vino necatae7apparatnecantur 1536., qui ex eo biberint taedium vini habent.

Notes d’apparat :

2. ex — supra non hab. VB. | 

3. ex lib. de nat. rer. 1536. | 

4. ex amnis Prüss1. | 

5. decoquitur VB. | 

7. necantur 1536.

Notes philologiques :

6. Cette information vient à l’origine d’Isidore de Séville. Thomas de Cantimpré l’a reprise mot pour mot, comme Vincent de Beauvais. Tous deux ont indiqué précisément leur source, Isidorus. L’auteur de l’Hortus sanitatis a recopié Vincent de Beauvais en modifiant l’ordre des citations – le marqueur item chez lui a perdu la signification qu’il avait chez Vincent de Beauvais et renvoie logiquement au Liber de natura rerum. Par un heureux hasard cette attribution n’est pas fausse puisque Thomas de Cantimpré cite ce passage. Isidore de Séville lui-même a sans doute emprunté cette information à Plin. nat. 32, 138 : Mullus in uino necatus uel piscis rubellio uel anguillae II, item uua marina in uino putrefacta ii, qui inde biberint taedium uini adfert.