Nereides et orcha (Épernay, BM, Inc. 3017)
[] compil.
[α] TC nat.6, 36
VB SN, 17, 121, 2
Isidorus2apparatisidorus non hab. VB.3philologieIl n’est fait aucune mention des nereides dans les Étymologies d’Isidore de Séville. La source est Thomas de Cantimpré, dont Vincent de Beauvais n’a repris que quelques morceaux, qu’il a copiés presque à l’identique. Les informations sont empruntées à Plin. nat. 9, 9..[α] Nereides sunt beluae4apparatbelua 1491 Prüss1. marinae toto corpore hirsutiis5apparathirsutis 1491 Prüss1 hirsutae et 1536. hispidae. Habentque speciem aliquam formatam cum homine. Horum aliqua cum mortalis conditionis imitatrix emori debet, auditur procul gemitus ejus ac planctus6apparatpost planctus hab. actor VB2 auctor VBd..[β] De his7apparatpost his hab. autem VB. plenius8apparatplenius… superius : superius… plenius VB. dictum est superius in capitulo Balaena9apparatbalaena : de monstris marinis et etiam de orchis in capitulo de balaenis VB.10philologieLes néréides ne sont pas mentionnées dans le chapitre de l’Hortus sanitatis consacré à la baleine (ch. 14). Le renvoi interne n’a pas été composé par l’auteur de l’Hortus sanitatis, mais a été repris en partie seulement à Vincent de Beauvais (voir l’apparat critique), qui le faisait apparaître sous le marqueur Actor. Celui-ci renvoyait au chapitre sur les monstres marins – absent de l’Hortus sanitatis – pour les néréides (VB 17, 100), et à celui sur les baleines (VB 17, 34) pour les orques..
[γ] TC nat.6, 39, 1-9
Ex Libro de naturis rerum11philologieLe texte de Thomas de Cantimpré n’est que très peu modifié. Il est délesté cependant d’un long développement théologique et moral sur la baleine et l’orque, allégorie du mal. Les éléments de description viennent de Plin. nat. 9, 12-13.. [γ] Orchum12apparatorca 1536. monstrum marinum est, ut ait Plinius ; ejus13apparatcujus VB. imago nulla po
Notes d’apparat :
2. isidorus non hab. VB. |
4. belua 1491 Prüss1. |
5. hirsutis 1491 Prüss1 hirsutae et 1536. |
6. post planctus hab. actor VB2 auctor VBd. |
7. post his hab. autem VB. |
8. plenius… superius : superius… plenius VB. |
9. balaena : de monstris marinis et etiam de orchis in capitulo de balaenis VB. |
12. orca 1536. |
13. cujus VB. |
14. moles VB. |
16. hoc 1536. |
17. irrumpunt 1491 Prüss1. |
18. orcae 1536. |
20. etc. non hab. VBd.
Notes philologiques :
3. Il n’est fait aucune mention des nereides dans les Étymologies d’Isidore de Séville. La source est Thomas de Cantimpré, dont Vincent de Beauvais n’a repris que quelques morceaux, qu’il a copiés presque à l’identique. Les informations sont empruntées à Plin. nat. 9, 9. |
10. Les néréides ne sont pas mentionnées dans le chapitre de l’Hortus sanitatis consacré à la baleine (ch. 14). Le renvoi interne n’a pas été composé par l’auteur de l’Hortus sanitatis, mais a été repris en partie seulement à Vincent de Beauvais (voir l’apparat critique), qui le faisait apparaître sous le marqueur Actor. Celui-ci renvoyait au chapitre sur les monstres marins – absent de l’Hortus sanitatis – pour les néréides (VB 17, 100), et à celui sur les baleines (VB 17, 34) pour les orques. |
11. Le texte de Thomas de Cantimpré n’est que très peu modifié. Il est délesté cependant d’un long développement théologique et moral sur la baleine et l’orque, allégorie du mal. Les éléments de description viennent de Plin. nat. 9, 12-13. |
15. Le terme mollis des éditions de l’Hortus sanitatis est une erreur pour moles de Vincent de Beauvais, conformément à Thomas de Cantimpré, d’où la traduction « une immense masse de chair ». Vérard a bien lu mollis : « il est grandement de mole chair ». L’adjectif n’apparaît pas dans la description de l’orque, déjà faite dans le chapitre sur la baleine, où l’on retrouve les mêmes informations. |
19. Voir Verg. Aen. 1, 112, illiditque uadis [sc. naues].