XXIII. De focha.
[β] Arist. HA, 608 b 22-25 MS3sourcesEt propter hoc dicitur, quod animal, quod dicitur foka, quod semper est in uno loco, semper pugnant, ita etiam, quod mas pugnat cum femina, quousque unus interficiat alium et eiciet ipsum; et similiter faciunt filii eorum. La traduction de Michel Scot, suivie par Thomas de Cantimpré, est fautive.
[γ] TC?
[δ] Arist. HA, 608 b 25 MS
[ε] TC
[α] Focha
|| [ζ] Focha, ut dicit liber Kyrannidarum, manus habet ut hominis et faciem vituli6philologieCette dernière phrase n'est que dans « Thomas II ». Les Cyranides comportent deux chapitres consacrés au phoque, l’un dans la deuxième, l’autre dans la quatrième Cyranide. Le chapitre dont s’inspire Thomas de Cantimpré est celui qui figure dans la deuxième Cyranide, à la lettre Φ. Mais cette précision anatomique, qui figure bien dans le texte grec (« Il a les pattes de devant semblables aux mains humaines ; sa tête est celle d'un veau »), est absente de la traduction latine de 1162, qui ne comporte que des indications médicales.. ||
Notes philologiques :
4. Cette dernière précision ne figure pas chez Michel Scot. Peut-être est-ce une glose de Thomas de Cantimpré à partir du terme similiter présent chez Scot (cf. supra, 6, 3, à propos de l'ahuna : vivit preda). |
6. Cette dernière phrase n'est que dans « Thomas II ». Les Cyranides comportent deux chapitres consacrés au phoque, l’un dans la deuxième, l’autre dans la quatrième Cyranide. Le chapitre dont s’inspire Thomas de Cantimpré est celui qui figure dans la deuxième Cyranide, à la lettre Φ. Mais cette précision anatomique, qui figure bien dans le texte grec (« Il a les pattes de devant semblables aux mains humaines ; sa tête est celle d'un veau »), est absente de la traduction latine de 1162, qui ne comporte que des indications médicales.
Notes de source :
2. Focas esse dicunt boues marinos quasi boaquas. |
3. Et propter hoc dicitur, quod animal, quod dicitur foka, quod semper est in uno loco, semper pugnant, ita etiam, quod mas pugnat cum femina, quousque unus interficiat alium et eiciet ipsum; et similiter faciunt filii eorum. La traduction de Michel Scot, suivie par Thomas de Cantimpré, est fautive. |
5. φώκη ζῷον ἐστι […] χεῖρας ἒχουσα ὁμoίας ἂνθρώπου πρόσωπον δὲ μόσκου βοός.