CopierCopier dans le presse-papierPour indiquer l’adresse de consultation« Jean de Cuba - Hortus sanitatis, Tractatus de piscibus IV.  », in Bibliothèque Ichtya, état du texte au 21/11/2024. [En ligne : ]
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Hortus sanitatis : Livre IV, Les Poissons, Catherine Jacquemard, Brigitte Gauvin, Marie-Agnès Lucas-Avenel, Presses universitaires de Caen, Caen, 2013.consultable en ligne

Capitulum L2apparatcaput 49 1536.

Leviathan et ludolachra

Leviathan et ludolachra (Épernay, BM, Inc. 3017)

1. VB SN, 17, 119, 1
[] compil.
[α] VB SN, 17, 119, 1
[β] compil.
Isidorus3apparatisidorus non hab. VB.4philologieLe marqueur Isidore n’apparaît pas chez Vincent de Beauvais mais a été ajouté par l’auteur de l’Hortus sanitatis. Isidore de Séville parle cependant bien du léviathan : Ipse est et Leuiathan, id est serpens de aquis, quia in huius saeculi mare uolubili uersatur astutia. Leuiathan autem interpretatur additamentum eorum (Isid. orig. 8, 11, 27). Vincent de Beauvais s’est contenté de présenter le léviathan en une phrase reprise par l’auteur de l’Hortus sanitatis, dont la fin a cependant été modifiée pour adapter le renvoi interne..[α] Leviathan5apparatleviathan — levim : levim sive leviathan VB2 leviathan VBd. – sive levim – est piscis serpentinus, de quo[β] scilicet6apparatscilicet — capitulo LXXXIIII (capit. 84 1536) : inferius dicetur in tractatu de serpentibus VB. supra dictum est in tractatu De animalibus capitulo LXXXIIII.
2. VB SN, 17, 119, 1
[β] compil.
[γ] TC nat.6, 33
Isidorus7apparatisidorus non hab. VB.8philologieLe marqueur est erroné. Vincent de Beauvais suit fidèlement Thomas de Cantimpré..[γ] Ludolachra est animal natura et forma mirabile, duas habens alas in facie, duas in dorso, quibus mira velocitate nititur quocumque voluntas eam impulerit.

Notes d’apparat :

2. caput 49 1536. | 

3. isidorus non hab. VB. | 

5. leviathan — levim : levim sive leviathan VB2 leviathan VBd. | 

6. scilicet — capitulo LXXXIIII (capit. 84 1536) : inferius dicetur in tractatu de serpentibus VB. | 

7. isidorus non hab. VB.

Notes philologiques :

4. Le marqueur Isidore n’apparaît pas chez Vincent de Beauvais mais a été ajouté par l’auteur de l’Hortus sanitatis. Isidore de Séville parle cependant bien du léviathan : Ipse est et Leuiathan, id est serpens de aquis, quia in huius saeculi mare uolubili uersatur astutia. Leuiathan autem interpretatur additamentum eorum (Isid. orig. 8, 11, 27). Vincent de Beauvais s’est contenté de présenter le léviathan en une phrase reprise par l’auteur de l’Hortus sanitatis, dont la fin a cependant été modifiée pour adapter le renvoi interne. | 

8. Le marqueur est erroné. Vincent de Beauvais suit fidèlement Thomas de Cantimpré.