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Édité et traduit par Brigitte Gauvin ; Catherine Jacquemard ; Marie-Agnès Lucas-Avenel.XXXIX. De gobione [le goujon1identificationLe terme gobius, ii, ou gobio, onis, désigne le goujon (Gobio gobio Linné, 1758), si l’on parle d’un poisson de rivière, ou le boulereau (Gobius), poisson littoral et saxatile, si l’on parle d’un poisson de mer. Ici, il s’agit sans doute du goujon, bien connu des hommes du Moyen Âge. Voir De Saint-Denis 1947, 43-44.]
2. [α] LR
[α] Le goujon est un tout petit poisson, à ce qu’en dit le Livre de la nature, mais bien qu’il soit de petite taille, cependant, lorsqu’il a pour se nourrir des eaux sablonneuses et graveleuses2explicationLe goujon affectionne effectivement les fonds sableux et graveleux., il offre, en tout cas, une nourriture très agréable. Certains prétendent que ce petit poisson, au plus chaud de l’été, a de minuscules vers blancs à l’intérieur du ventre et qu’il est vicié par leur souillure3explicationLe goujon peut être parasité par des acanthocéphales (Kaldonski 2005).. Ce petit poisson est d’une forme presque cylindrique, avec de petites écailles pareilles à de l’argent.
[α] Le goujon est un tout petit poisson, à ce qu’en dit le Livre de la nature, mais bien qu’il soit de petite taille, cependant, lorsqu’il a pour se nourrir des eaux sablonneuses et graveleuses2explicationLe goujon affectionne effectivement les fonds sableux et graveleux., il offre, en tout cas, une nourriture très agréable. Certains prétendent que ce petit poisson, au plus chaud de l’été, a de minuscules vers blancs à l’intérieur du ventre et qu’il est vicié par leur souillure3explicationLe goujon peut être parasité par des acanthocéphales (Kaldonski 2005).. Ce petit poisson est d’une forme presque cylindrique, avec de petites écailles pareilles à de l’argent.
Notes d'identification :
1. Le terme gobius, ii, ou gobio, onis, désigne le goujon (Gobio gobio Linné, 1758), si l’on parle d’un poisson de rivière, ou le boulereau (Gobius), poisson littoral et saxatile, si l’on parle d’un poisson de mer. Ici, il s’agit sans doute du goujon, bien connu des hommes du Moyen Âge. Voir De Saint-Denis 1947, 43-44.
Notes d'explication :
2. Le goujon affectionne effectivement les fonds sableux et graveleux. |
3. Le goujon peut être parasité par des acanthocéphales (Kaldonski 2005).