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VIII. De aureo vellere [la « toison d’or » : la grande nacre1]

2. [α] Ambr. hex. 5, 11, 33
[α] La mer nourrit aussi la toison d’or, comme en témoigne Ambroise, et les rivages produisent une laine qui rappelle l’aspect du métal. Jusqu’à présent, aucun de ceux qui teignent les laines de multiples couleurs, aussi habile artisan fût-il, n’a pu en imiter la couleur. [β] À cette espèce de toison appartient, croit-on, la toison pour qui, en pays troyen, des hommes périrent par milliers, des villes furents incendiées et des nations déportées, à ce que raconte la très ancienne Histoire des Grecs2.