CopierCopier dans le presse-papierPour indiquer l’adresse de consultation« Thomas de Cantimpré - Livre de la Nature — Livre VII. Les poissons de mer ou de rivière.  », in Bibliothèque Ichtya, état du texte au 21/11/2024. [En ligne : ]
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Fichier nativement numérique.

Édité et traduit par Brigitte Gauvin ; Catherine Jacquemard ; Marie-Agnès Lucas-Avenel.

LVII. De mullo [le « mulet » : le surmulet ?1identificationVoir supra ch. LVI, De mulo.]

Lieux parallèles : AM, [Mullus] (24, 78 (??)) ; HS, Mulus vel mullus (4, 61).
2. [α] Isid. orig.12, 6, 25
[α] Le mullus, à ce que dit Isidore, est un poisson. Il tire son nom de sa nature, car il est mou et très tendre2explicationSur cette étymologie fantaisiste, voir André 1986, 196, n. 364, et De Saint-Denis 1947, 68. L’origine du mot mulus reste aujourd’hui incertaine.. Sa chair diminue l’appétence sexuelle. Elle fait baisser la vue. Et ceux qui en consomment souvent sentent le poisson. Si on tue un mullus [surmulet] dans du vin, ceux qui en ont bu sont dégoûtés du vin.

Notes d'identification :

1. Voir supra ch. LVI, De mulo.

Notes d'explication :

2. Sur cette étymologie fantaisiste, voir André 1986, 196, n. 364, et De Saint-Denis 1947, 68. L’origine du mot mulus reste aujourd’hui incertaine.