Copier dans le presse-papierPour indiquer l’adresse de consultation« Albert Le Grand - Les animaux — Livre XXIV. Les animaux aquatiques. », in Bibliothèque Ichtya,
état du texte au 21/11/2024. [En ligne : ]
Copier dans le presse-papierSource de référence
Fichier nativement numérique.
Édité et traduit par Brigitte Gauvin.<Nereides [les néréides1identificationLes Néréides étaient les nymphes bienveillantes de la mer, filles de Nérée et de Doris. Mais Pline (Plin. nat. 9, 9) certifie que certains en ont vu. La description qui figure chez Thomas de Cantimpré et Albert le Grand ne permet pas de reconnaître exactement ces figures mythologiques, mais on est également bien loin du ver marin qui porte ce nom dans la zoologie moderne. ?]>
Source : TC, De nereidis (6, 36).
2. [α] Plin. nat.9, 92sources« Et l’aspect des Néréides n’est pas imaginaire, seulement elles ont le corps hérissé d’écailles même là où il possède un aspect humain. En effet on en a vu une sur le même rivage, et, quand elle est morte, les gens du voisinage ont entendu son triste chant. »
86. [α] Les néréides, selon Pline, sont des animaux marins dont l’apparence évoque quelque peu la forme humaine ; et, quand elles doivent mourir, elles pleurent et se lamentent si bien que les habitants des côtes les entendent.
86. [α] Les néréides, selon Pline, sont des animaux marins dont l’apparence évoque quelque peu la forme humaine ; et, quand elles doivent mourir, elles pleurent et se lamentent si bien que les habitants des côtes les entendent.
Notes d'identification :
1. Les Néréides étaient les nymphes bienveillantes de la mer, filles de Nérée et de Doris. Mais Pline (Plin. nat. 9, 9) certifie que certains en ont vu. La description qui figure chez Thomas de Cantimpré et Albert le Grand ne permet pas de reconnaître exactement ces figures mythologiques, mais on est également bien loin du ver marin qui porte ce nom dans la zoologie moderne.
Notes de source :
2. « Et l’aspect des Néréides n’est pas imaginaire, seulement elles ont le corps hérissé d’écailles même là où il possède un aspect humain. En effet on en a vu une sur le même rivage, et, quand elle est morte, les gens du voisinage ont entendu son triste chant. »