CopierCopier dans le presse-papierPour indiquer l’adresse de consultation« Albert Le Grand - Les animaux — Livre XXIV. Les animaux aquatiques.  », in Bibliothèque Ichtya, état du texte au 16/09/2024. [En ligne : ]
CopierCopier dans le presse-papierSource de référence

Fichier nativement numérique.

Édité et traduit par Brigitte Gauvin.

<Afforus [le poisson-écume : le lançon équille ?1identificationLa source à laquelle remontent les notices d’Albert le Grand et de Thomas de Cantimpré (TC 7, 13) est Isidore de Séville (Isid. orig. 12, 6, 40). Il faut admettre avec André 1986, 205, n. 385, comme avec Kitchell & Resnick 1999, 1663, n. 54, que l’afforus est un nouvel avatar de l’aphros, le poisson-écume, déjà évoqué par Albert le Grand dans les ch. 4 et 5, alforaz et astaraz.]>

Source : TC, De aforo (7, 13).
Renvois internes : cf. Alforaz, ch. 4 ; Astaraz, ch. 5.
Lieux parallèles : HS, Arburcium, amnis, ahaniger, afferus et astralus (4, 9).
2. [α] Isid. orig.12, 6, 402sources« L’aforus est un petit poisson que son exiguïté ne permet pas de prendre à l’hameçon » (André 1986, 204).
13. [α] L’afforus est un poisson si petit qu’on ne peut le prendre à l’hameçon.

Notes d'identification :

1. La source à laquelle remontent les notices d’Albert le Grand et de Thomas de Cantimpré (TC 7, 13) est Isidore de Séville (Isid. orig. 12, 6, 40). Il faut admettre avec André 1986, 205, n. 385, comme avec Kitchell & Resnick 1999, 1663, n. 54, que l’afforus est un nouvel avatar de l’aphros, le poisson-écume, déjà évoqué par Albert le Grand dans les ch. 4 et 5, alforaz et astaraz.

Notes de source :

2. « L’aforus est un petit poisson que son exiguïté ne permet pas de prendre à l’hameçon » (André 1986, 204).